L’entreprise japonaise SEGA se retire des jeux d’arcade dans son pays. Après avoir été pionnier sur le marché des salles d’arcades, dans les années 1960, la société se retire après 56 années d’existence.
Fin janvier, la société Genda Inc. a racheté les salles Sega. Ainsi, les salles ne disparaîtront pas, mais s'appelleront Gigo.
En 2020 déjà, Sega avait vendu 85,1% de ses parts de marché à l’entreprise Genda Inc.
Le retrait de Sega s’explique pour deux raisons, selon la société : la situation sanitaire et le désintérêt croissant des joueurs, qui se tournent plutôt vers les nouvelles technologies (réalité virtuelle). En effet, avant la pandémie, le marché des arcades était déjà sur une pente descendante. Lorsqu’en 1986, on comptait 26 573 salles, en 2019 on en comptait plus que 4 022.
L’histoire des salles d’arcade a débuté dans les années 60. La société Sega est rapidement devenue le leader, notamment grâce à son personnage emblématique, Sonic.
Entre 70 et 80, lors du boom de ces machines, Sega est l’un des principaux acteurs du secteur avec des jeux à succès (Daytona USA, After Burner, Virtua Fighter, mais encore OutRun). Avec sa console Genesis Mega Drive, Sega vend énormément partout dans le monde, mettant fin à la domination de Nintendo.
En effet, Love est chef de cette gare, après sa nomination en 2016. En sa compagnie, on trouve Sakura, agent de gare, et Peach, responsable des installations.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, ils mènent une vie d’humains, en accueillant les voyageurs comme il se doit, avec un petit chapeau comme signe distinctif.
Aussi, ils célèbrent même le Setsubun, le 3 février, en jetant des cacahuètes (avec l’aide de leurs collègues humains). Ces derniers ont chassé les démons, cette année le coronavirus, en espérant retrouver de nombreux touristes dans cette station.
Dans le centre de Tokyo, des essais ont été réalisés pour des voitures autonomes. Ces véhicules sont le fruit d’un groupe d’entreprises, dont Tier IV.
Avec son taxi automatisé, équipé de caméras et de détecteurs, le conducteur à bord n’a pas besoin de toucher le volant. Dans le quartier Nishi-Shinjuku, le véhicule parcourt deux kilomètres et fonctionne à partir du réseau sans fil 5G. Cela permet au véhicule de recevoir les données sur les feux de circulation, par exemple.
La capitale a pour projet de lancer des services de véhicules autonomes, espérant proposer cela en 2023.
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